Si chaque lieux du refuge peut être considéré comme dangereux face à la nature qui garde ses droits, on ne peut douter que les montagnes soient les plus agressives. Composée de plateaux flottants pouvant relier les sommets les plus hauts pour les Réfugiés dépourvus d’ailes, la hauteur de ceux-ci donne lieux à un climat particulièrement hostile. Habité par toutes sortes de races, les montagnes habitent cependant le « Palais Royal » des fées : chaque membre du conseil et sa famille directe vit dans ce palais si bien dissimulé.
Si chaque lieux du refuge peut être considéré comme dangereux face à la nature qui garde ses droits, on ne peut douter que les montagnes soient les plus agressives. Composée de plateaux flottants pouvant relier les sommets les plus hauts pour les Réfugiés dépourvus d’ailes, la hauteur de ceux-ci donne lieux à un climat particulièrement hostile. Habité par toutes sortes de races, les montagnes habitent cependant le « Palais Royal » des fées : chaque membre du conseil et sa famille directe vit dans ce palais si bien dissimulé.
En effet – et comme toutes les demeures se trouvant dans les montagnes – le palais ne fait qu’un avec la plus haute montagne de la chaine. Et si l’extérieur reste extrêmement froid, cette impression est rapidement oubliée lorsque l’on entre dans le palais : une atmosphère chaleureuse flotte entre ses murs, malgré les tensions présentes entre les héritiers.
Peu productive en termes de bois ou de légumes, les montagnes ne sont cependant pas en reste dans le commerce du Refuge : celles qui ne sont pas habitées sont creusées afin de trouver des filons, et la plupart des habitants des plateaux s’enrichissent grâce à l’orfèvrerie et la création de bijoux.
Il ne faut cependant pas croire que les plateaux ne sont habités que par le peuple féérique : les Réfugiés ne disposant pas d’ailes peuvent compter sur les esprits de l’air pour voyager entre les plateaux. Quelques élémentaliste de l’air ont d’ailleurs décidé de migrer dans les plateaux afin d’apporter leur aide aux esprits de l’air et de sécuriser ce moyen de transport qui reste des plus dangereux : il n’est pas rare qu’un habitant, surpris par un courant d’air trop fort en plein transport, ne soit éjecté ou tout simplement poussé du plateau…