Gaspard Hamilton
32 ans
Métier :
Baron
Race :
Fée du Printemps
Dragonnière
Avatar :
Jonathan Rhys Meyers
Les Hamilton sont une famille réputée respectable et généreuse sur le refuge, venant toujours en aide à leur prochain, utilisant leur titre et richesse pour s’impliquer auprès des pauvres.
C’est dans un environnement donc particulièrement bienveillant que Gaspard a grandit, et il aurait pu suivre la même voix que le reste de sa famille si l’enfant n’avait pas été détraqué.
Gaspard est malade, pourrit jusqu’à la moelle. Il éprouve une fascination macabre pour la mort et éprouve un plaisir à malsain à sentir qu’il tient entre ses mains le sort des plus démunis. Ivre de pouvoir et de domination, son premier meurtre n’est qu’un banal accident suite à une dispute avec un homme saoul alors qu’il n’est âgé que de 15 ans.
Il sombre peu à peu dans sa folie meurtrière, s’essaie sur des animaux, avant de revenir aux humains, usant de ses pouvoirs pour les hypnotiser et les emmener dans un lieu isolé où il pourra donner libre cour à ses pulsions.
Son « art » comme il aime à l’appeler atteint les sommets lorsqu’à ses 18 ans, sa famille découvre tout. Lui qui pensait naïvement que ses parents feraient passer le bien être de leur fils avant tout tombent de haut lorsque ces derniers veulent le livrer aux autorités.
Il perd les pédales et tue ses parents ainsi que son petit frère, pour éliminer toute risque de témoin et va jusqu’à se planter un poignard dans l’épaule pour éloigner tout soupçons de sa personne. Il utilise ensuite ses pouvoirs pour faire accuser une servante et l’hypnotise pour qu’elle se pende dans sa cellule la veille de son procès.
Aujourd’hui Gaspard est vu comme un saint. Pauvre orphelin victime d’un drame morbide que personne n’aurait pu prédire. Il poursuit l’oeuvre de sa famille, venant en aide au plus démunis, offrant fréquemment une partie de ses récoltes aux membres de la rébellion pour qu’ils les distribuent. Mais il n’y a là nulle rédemption, pour lui ce n’est qu’une parfaite couverture pour amadouer la population et remplir un peu plus chaque années son panel de victimes.